Dans le monde impitoyable du journalisme télévisé, chaque mot compte et chaque question peut déclencher une tempête médiatique. C’est ce qu’a appris Léa Salamé, figure emblématique du paysage audiovisuel français, lors de son récent entretien avec Marion Cotillard au journal de 20 heures sur France 2. Une séquence qui a suscité une vague de critiques, mais aussi un élan de soutien inattendu de la part de Pascal Praud.
« Merci, ça va »
L’interview avait tout pour être un moment télévisuel comme un autre, mais la décision de Léa Salamé d’aborder la rupture de Marion Cotillard avec Guillaume Canet a transformé l’entretien en sujet brûlant. La réponse de l’actrice, « Merci, ça va », a été suivie d’un silence qui en disait long, et les réactions ne se sont pas fait attendre. Sur Europe 1, Pascal Praud et son équipe ont discuté de l’incident, avec des opinions partagées. Caroline Ithurbide, chroniqueuse de l’émission, n’a pas hésité à critiquer la démarche de Salamé, la qualifiant d’hypocrite et de dénuée d’empathie.
« Qui n’a pas fait d’erreur et qui n’a pas manqué une interview ? »
Face à ces attaques, Pascal Praud a pris la défense de sa consœur, arguant que l’intention de Léa Salamé n’était pas de nuire mais de créer un moment de télévision mémorable. « Qui n’a pas fait d’erreur et qui n’a pas manqué une interview ? », a-t-il plaidé, rappelant que même les journalistes les plus aguerris peuvent connaître des moments de flottement. Un soutien qui souligne la difficulté de l’exercice de l’interview et la solidarité qui peut exister, même dans un milieu souvent perçu comme compétitif.
Cette histoire nous rappelle que derrière chaque question posée à l’antenne se cache une stratégie, un désir de capter l’attention du public, mais aussi les risques inhérents à l’exposition médiatique. Léa Salamé, avec son expérience et son professionnalisme, a certainement tiré les leçons de cette controverse. Quant à Pascal Praud, son intervention démontre que même dans la tourmente, l’esprit de corps peut prévaloir sur la critique facile.



Il ne s’agit en rien de solidarité de la part de P. Oraux mais de perfidie lui permettant de souligner le ratage de L.Salamé. Bien fait pour elle car en fouille-merde dans la vie des autres ce rôle ne la grandit pas professionnellement.