Marlène Schiappa dans Playboy: l’avis tranché de son ex-mari

Marlène Schiappa

La Secrétaire d’État Marlène Schiappa est sous les feux des projecteurs ces derniers mois. Plusieurs dossiers polémiques entourent la femme politique, depuis l’Affaire des Fonds Marianne et la Une de Playboy, on ne sait plus ou donner de la tête. 

Une crise médiatique dans une crise politique et sociale

Souvenez-vous, le 31 mars dernier, Marlène Schiappa confirmait qu’elle ferait la couverture du prochain numéro de Playboy. En cette veille du 1er avril, l’opinion publique s’est d’abord demandée si c’était un premier avril avant l’heure ou s’il fallait croire à la nouvelle. Le tout dans un contexte social critique pour le gouvernement : la rue était occupée par les mouvements sociaux contre l’utilisation du 49’3 pour passer la réforme des retraites. 

La première ministre Elisabeth Borne et la ministre de d’égalité Homme Femme, Isabelle Rome, s’insurgeaient dans les médias de cette décision de Marlène Schiappa. Couts d’éclats entre les membres du gouvernement par médias interposés, plusieurs crises courraient à la fois : sociales, politiques et désormais médiatiques… rappelons aussi que le président venait de publier une interview dans  Pif Gadget. Les tensions se faisaient sentir de tout bord! 

L’avis sans faux-semblant de son ex-mari

Cette sortie médiatique a donc hautement divisé. Dans une interview auprès du journal Le Monte, mardi  20 juin, c’est au tour de son ex-mari, Cédric Bruguière de donner son avis. Celui-ci a pris le parti de son  ex-épouse, déclarant auprès de nos confrères : « On ne pardonne rien aux femmes… Gilbert Collard était aussi dans Playboy, on ne lui a rien reproché ». 

Pour rappel, le couple est officiellement séparé. Marlène Schiappa officialisait en décembre 2022 sa nouvelle relation avec Matthias Savignac, PDG de la MGEN. 

4 réactions sur “Marlène Schiappa dans Playboy: l’avis tranché de son ex-mari

  1. On ne la paye pas pour faire des photos pour playboy pendant les heures de boulot, c’est prendre les administrés pour des cons….

  2. La personne qui a écrit det article doit se relire avant de publier :
    – le 31 avril ???? Je ne savais pas que le mois d’avril avait 31 jours, première nouvelle !!!
    –  » en cette veille du 1er mai », (…),  » si c’était un premier avril avant l’heure » : décidément la personne, auteure de l’article, a des problèmes sérieux avec les dates…
    –  » coûts d’éclats » ??? ==> coup(s) d’éclat
    « plusieurs crises courraient »==> couraient

    Un court article d’une quinzaine de lignes avec deux erreurs de date, et deux fautes d’orthographe… Qui dit mieux??

  3. Et oui : Mai 68 et les gauchistes sont passés par là….
    QUELQUES FAUTES DE FRANÇAIS TROP COURAMMENT COMMISES PAR TROP DE JOURNALISTES ET NOMBRE D’AUTRES CITOYENS, AYANT POURTANT UN BON BAGAGE INTELLECTUEL !

    DIRE OU NE PAS DIRE : là est la réponse !

    Se rappeler qu’on ne dit pas :

    – pallier à quelque chose, mais pallier quelque chose !

    – qu’on a « explosé un record » mais qu’on a pulvérisé un record,

    – « au jour d’aujourd’hui » : pléonasme,

    – « à l’heure d’aujourd’hui » : stupide !

    – « jusque tard dans la nuit » ( voir plus bas * ),

    – « panacée universelle » (pléonasme),

    – « qu’on a été voir » mais qu’on est allé voir » (très fréquent !),

    – les décisions « que j’ai pris »…mais que j’ai prises (de plus en plus fréquent !),

    – « les conditions dans lequel »…mais dans lesquelles (de plus en plus fréquent !). Les pronoms « lesquels, lesquelles, laquelle » sont de plus en plus souvent remplacés par « lequel ». Inadmissible !

    – « Après qu’il soit venu » mais dire « après qu’il est venu ». Au plan temporel, après « après que, qu’il, qu’elle, » le verbe suivant est toujours au présent…

    – « un espèce de comportement », mais « une espèce de comportement ». Car « espèce » est toujours du genre féminin même s’il caractérise un nom au masculin : « une espèce d’engin » et non « un espèce d’engin »… (trop fréquent !),
    – Phonétiquement : les personnes « admises », mais les personnes « zadmises ». Oubli des liaisons de mots se terminant par ese, eses avec le mot suivant commençant par une voyelle…

    – les « zhandicapés » au lieu des handicapés. Le « h » de handicapé est aspiré (pas de liaison avec ce mot) ; on ne dit pas, phonétiquement, « les zhandicapés », « l’handicapé », « l’handicap « , mais les handicapés, le handicapé, le handicap. Prononce-t-on « les zhangars » pour hangars ?? (très courant !),

    – la « problématique », mot nouveau dont se gargarisent trop de gens…mais « le problème ». Car une problématique est un ensemble de problèmes. Or, trop de gens utilisent ce mot pour évoquer un seul problème ! Ça fait « branché », mais vaniteux !

    * Concernant « jusque tard dans la nuit », cette expression est un oxymore (utilisation de termes contradictoires). En effet, « jusque » indique une limite spatio-temporelle bien définie et finie : jusqu’à Paris, jusqu’à 13 heures, alors que « tard » indique une notion de limite temporelle floue, non définie ; tard peut vouloir dire 19h, 22h, 23h, 2h du matin, etc,…

    Il faut simplement dire, si on ne veut ou ne peut préciser d’heure : « tard dans la nuit », simplement !

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