Virginie Efira : “dépendante au crack…” ?

Virginie Efira

Virginie Efira s’est confiée à Marie-Claire sur son rapport au travail suite à ses grossesses.

“Souvent, on a voulu me faire croire qu’avec la maternité, j’allais moins travailler. Alors que l’arrivée de ma fille, quand j’avais 36 ans, m’a donné envie d’en faire plus, et mieux. J’ai eu besoin de trouver un nouveau sens à ce que je faisais”, a expliqué Virginie Efira. 

Virginie Efira a enchaîné les rôles

Avoir un enfant pose la question passionnante – que les gens qui n’ont pas d’enfant peuvent trouver aussi – de la transmission : faire les choses qu’on aime en ayant l’impression qu’elles nous dépassent, croire en quelque chose de beau, ensemble, à plusieurs, qui advient sur l’écran de cinéma”, a-t-elle ajouté.

Après la naissance de sa fille, Ali, il y a onze ans, Virginie Efira a enchaîné les rôles.

“Certains acteurs me regardaient comme si j’étais dépendante au crack »

“Sont arrivés des films qu’on ne m’avait pas proposés avant, que je trouvais intéressants. C’était difficile de ne pas tenter ces aventures-là avec l’idée qu’elles ne se représenteraient peut-être plus. Chaque première fois peut être la dernière, donc il fallait y aller », a-t-elle poursuivi.

Certains acteurs me regardaient comme si j’étais dépendante au crack, ou que j’avais une maladie. Mais je ne voyais pas bien ce que ça pouvait m’enlever ou me coûter”, conclut l’actrice.

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