Mercredi 4 décembre 2024, Vitaa a invité sur la scène de l’Accor Arena son ami Slimane. Elle raconte ses souvenirs.
En 2006, Vitaa chantait Confessions nocturnes, avec Diam’s.
Elle a ensuite chanté seule et avec Stromae, Jul, Claudio Capéo, Gims, ou Slimane.
Dans son documentaire « Vitaa : je m’appelle Charlotte », elle raconte sa relation avec Slimane : « C’est ce que j’appelle l’alchimie, que j’ai qu’avec très peu de gens.Les énergies se cumulent et on arrive à créer quelque chose d’hyper puissant parce qu’on mélange nos forces ».
« Slimane, ça a été un coup de cœur humainement comme un petit frère »
Et d’ajouter : « Slimane, ça a été un coup de cœur humainement comme un petit frère, une âme sœur musicale. Il y a eu peu de rencontres dans ma carrière qui m’ont bouleversée comme ça. C’est quelque chose de très fort qui nous lie avec Slimane parce qu’il m’a redonné confiance à un moment où c’était dur ».
Sur CStar, elle avait souligné sur sa relation avec Slimane : « En commençant les festivals, après le premier show, on se retrouve souvent aphone. Pourtant, on a l’habitude et on s’est dit ‘c’est dur quand même’… Mais c’est hyper puissant. C’est un show qui est très vocal, tout en harmonie. On a des moments d’intensité où on se regarde avec l’énergie qui se mélange et se décuple. C’est très fort en même temps de chanter en duo, c’est vraiment unique ».
« Elle ne comprend pas qu’on lui fasse ça alors qu’elle n’y est pour rien. Elle le vit comme une trahison »
En octobre dernier, un ancien technicien de la tournée de Slimane avait porté plainte contre l’artiste pour harcèlement sexuel avant une seconde plainte pour agression sexuelle en novembre dernier.
Vitaa avait toutefois invité sur la scène de l’Accor Arena son ami Slimane le 4 décembre dernier contre l’avis de plusieurs de ses techniciens.
« Elle ne comprend pas qu’on lui fasse ça alors qu’elle n’y est pour rien. Elle le vit comme une trahison. Elle dit que Slimane est comme son frère et que comme dans toute famille, on reste solidaire même si on ne cautionne pas toutes les conneries », avait raconté l’un d’entre eux au Parisien.