Eddy Mitchell est remonté suite à un incident qui s’est déroulé lors de l’anniversaire de Laura Smet, fille de son ami Johnny Hallyday et dont il est le parrain. Le chanteur est revenu sur ce moment « dramatique » auprès de nos confrères du Point, dans un entretien publié jeudi 14 décembre.
Laura Smet passe le cap des 40 ans dans un chic restaurant parisien
La jolie Laura Smet fêtait ses quarante ans dans un beau restaurant du 16 ème arrondissement de Paris, le Café de l’Homme, mercredi 15 novembre dernier. Pour l’évènement son cher parrain Eddy Mitchell était bien entendu invité, tout comme sa mère, Nathalie Baye, et de nombreuses personnalités. Malgré l’heureux évènement et le cap important qu’il représente pour sa filleule, Eddy Mitchell n’aura pas gardé un si bon souvenir du moment…
Tant est qu’il en a reparlé auprès de nos confrères du journal Le Point, le 14 décembre dernier : « Je suis le parrain de Laura, on vient de fêter ses 40 ans dans un bel endroit, mais dramatique, le restaurant du musée de L’Homme! »
« Dramatique », Eddy Mitchell vexé par la Dj?
« Dramatique », le mot est peut-être fort, mais il s’explique : « Le disc-jockey jouait trop fort, on ne pouvait pas se parler. J’ai demandé à baisser, la fille m’a répondu : « vous êtes comme Mick Jagger qui ne supporte pas le bruit. » ».
Ces mots n’auront pas plu à l’acolyte de Johnny… Vexé? Très certainement, puisqu’il en parle encore trois semaines plus tard dans les journaux!
Quant à Laura Smet, elle a déjà bien du souci à se faire avec ses deux demi-soeurs Jade et Joy et leurs récentes déclarations dans lesquelles elle l’accusent de « trahison »!
Ca me fait doucement rigoler, ces jeunes qui n’écoutent pas les requêtes sensées d’une autre tranche d’âge. Et particulièrement les disc-jockey. Jeunes, ils (et elles) ont toujours écouté la musique « à fond », bien au-delà de la limite autorisée. Pourquoi y a-t-il une limite au volume sonore ? Pour préserver la santé des participants. A quoi sert de se réunir (ici, pour un anniversaire), si l’on ne peut pas échanger ? La musique a sa place, mais rien que sa place. Et les jeunes, ceux qui n’ont pas connu les années 70 ou 80, et qui sont nés avec des systèmes sonores d’une puissance démesurée, osent nous dire que « ça met de l’ambiance » quand c’est à un niveau élevé… Oui, quand on est « au bout de sa vie » et complètement bourré (par diverses substances), les basses à haut niveau, c’est tout ce qui leur fait de l’effet, car ça finit par agir physiquement sur leur cage thoracique : un comble ! Il faut « ressentir ». On est bien loin d’ « écouter » de la musique ! Et ces jeunes disc-jockey, bien prétentieux, pensant agir sur l’ambiance en forçant sur le volume sonore, sont eux-mêmes déjà atteint d’un bon niveau de surdité, car ils abusent depuis longtemps du niveau sonore. Du coup, eux-mêmes étant un peu sourds, ne se rendent même plus compte de ce qu’ils font endurer aux participants. Qu’ils soient plus humbles et placent le sonomètre devant leurs enceintes sonores, avant de traiter les autres de « ploucs ». Dans les rave-parties, au moins, les participants viennent « écouter » équipés de bouchons d’oreille : ça en dit long sur la qualité du son finalement perçue… Comme on dit, à bon entendeur, salut !
les filles de halliday habillées comme des demoiselles de petites vertus devraient se taire