En pleine émission de Calvi 3D sur BFM TV, Marion Maréchal-Le Pen a avoué être enceinte avant de révéler sa date approximative d’accouchement.
Ce mardi 8 mars, Marion Maréchal-Le Pen était l’invité de Yves Calvi sur BFM TV à son émission Calvi 3D. Lorsque le journaliste lui a demandé si elle comptait se rallier à Éric Zemmour ou si elle désirait se présenter aux élections législatives prochaines, la réponse de la politicienne a surpris les téléspectateurs : « Alors, je ne peux pas pour l’instant vous répondre, pour une raison très simple, ce n’est pas du tout de la langue de bois », a-t-elle répondu.
« Je suis censée accoucher au moment du second tour des élections législatives ».
Avant d’ajouter : « Pardon d’aller sur ce terrain personnel mais je suis censée accoucher au moment du second tour des élections législatives, donc je ne suis pas en mesure d’avoir la certitude de pouvoir mener ce combat électoral efficacement ».
Et de conclure : « Mais si j’en ai l’occasion et l’opportunité, je souhaiterais pouvoir le faire oui. Après, sincèrement, je n’en suis pas là du tout ».
Une naissance qui devrait être prévue aux alentours du 19 juin prochain…
La naissance du bébé de la petite fille de Jean-Marie Le Pen et de Vincenzo Sofo devrait donc par déduction être prévue vers le 19 juin prochain. Marion Maréchal-Le Pen est déjà maman d’une petite fille Olympe, âgée de sept ans, qu’elle a eue avec l’entrepreneur Matthieu Decosse, son premier époux.
En janvier dernier, son grand-père avait confié au Parisien une indication sur sa grossesse : « Marion est enceinte de quatre mois », avait-il affirmé. Il avait même exprimé sa surprise quant à la décision de revenir en politique de sa petite fille : « Qu’est-ce qui lui a pris d’annoncer son envie de retour en politique alors qu’elle est dans un autre projet de vie ? Elle est mariée, attend un enfant pour le mois de juin. Comment pourrait-elle dans ces conditions être candidate aux législatives ? », s’était-il interrogé.
Après l’élection présidentielle de 2017, Marion Maréchal-Le Pen avait quitté le milieu de la politique pour ouvrir son école de sciences sociales, économiques et politiques, l’ISSEP.