Après le procès sur la succession de son père, Laura Smet aurait lâché des mots lourds de sens…
Le 15 juin prochain, Patrick Roussel, le chauffeur et garde du corps de Johnny Hallyday publie son livre Tout le monde l’appelait Johnny.
Il raconte l’affaire judiciaire sur la succession de Johnny et son héritage entre Laeticia et les quatre enfants du taulier.
Un clan déchiré
Laura Smet ne veut pas l’argent ou les villas, mais les droits de la chanson qu’il a écrite pour elle (sortie en 1986) : Laura.
Dans son livre dont certains extraits ont été partagés par Gala, dans l’édition du jeudi 8 juin, il raconte : « Je n’ai jamais vu l’artiste interpréter Laura sur scène. J’ignore pourquoi, ou peut-être pas. Un interdit tacite. Johnny lui-même n’évoquait pas ce morceau. Laura, elle, m’en a parlé. Elle m’a confié, encore récemment : ‘Je me fous du reste. Moi, au moins, j’ai ma chanson' ».
En juillet 2020, un « accord définitif » sera enfin trouvé entre Laeticia, David et Laura. Dans Le Parisien, un proche de l’actrice indique à l’époque qu’elle a également obtenu « un canapé, une statue, des santiags… ».
David Hallyday avait renoncé à toute action en justice
Détenteur du droit moral sur l’album Sang pour sang, composé avec son père, David Hallyday, qui a renoncé par lassitude à toute action en justice, lui aurait attribué sa part à Laura. Une part estimée à un million d’euros.
« Nous sommes ravis de cet accord. Nous n’avons rien demandé, il est donc normal que nous n’en fassions pas partie. Nous avons indiqué depuis le départ que seuls comptent la mémoire de Johnny et la protection des sœurs”, avait indiqué l’avocat de David Hallyday à BFMTV.
C’est une grande fortune qui dépasse ce que j’aurai pu imaginé