Stéphane Plaza, l’agent immobilier le plus célèbre du PAF, malgré une déprogrammation sur M6, continue de percevoir des sommes conséquentes de la chaîne. Un scénario qui intrigue et qui mérite un éclairage.
En février 2025, la chaîne a pris la décision de retirer ses programmes de l’antenne
Stéphane Plaza, figure emblématique de M6 avec des émissions à succès telles que « Maison à vendre » ou « Recherche appartement ou maison », a vu son étoile pâlir suite à une condamnation pour violences conjugales. En février 2025, la chaîne a pris la décision de retirer ses programmes de l’antenne. Cependant, l’histoire ne s’arrête pas là pour l’animateur.
Bien que ses émissions aient été suspendues, son contrat, qui court jusqu’en 2028, lui assure toujours des revenus. Selon les informations rapportées par Challenges, M6 continue de lui verser sa prime d’exclusivité. Une situation financière confortable pour celui qui a su conquérir le cœur des Français avec son expertise immobilière et son charisme télévisuel.
« Les relations sont bonnes, malgré ce qu’on peut dire »
La relation entre Stéphane Plaza et M6 semble résister aux tempêtes. L’animateur, qui a exprimé son désir de continuer à travailler dans le domaine de l’immobilier à la télévision, entretient toujours des liens avec la chaîne. « Les relations sont bonnes, malgré ce qu’on peut dire », a-t-il confié lors d’une interview avec Jordan de Luxe.
Guillaume Charles, directeur général des antennes de télévision et contenus du groupe M6, n’a pas fermé la porte à un éventuel retour de Plaza. « Rien n’est exclu pour le moment », a-t-il déclaré, tout en précisant que la décision de suspendre la diffusion des émissions a été prise suite au premier verdict.
Stéphane Plaza se trouve donc dans une position singulière. D’un côté, il est écarté de l’antenne, mais de l’autre, il continue de bénéficier des avantages financiers liés à son contrat. Cette situation soulève des questions sur l’avenir professionnel de l’animateur et sur les décisions que M6 prendra à l’issue de son appel judiciaire.