L’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 envisage de revenir sur le devant de la scène politique nationale. Alors que les formations de gauche s’organisent pour présenter un front uni en 2027, Ségolène Royal n’exclut pas de prendre part à cette dynamique collective.
Royal se déclare disponible pour 2027
Dans une déclaration qui marque son retour dans le jeu présidentiel, Ségolène Royal a clairement exprimé sa position concernant l’élection suprême de 2027. L’ancienne ministre a indiqué qu’elle pourrait se porter candidate à l’investiture du Parti socialiste, sous certaines conditions.
« Je ne vais pas me dérober […] Si la primaire prévue par les statuts est bien organisée et respectueuse, je serais candidate », a-t-elle affirmé.
Cette annonce intervient dans un contexte de recomposition de la gauche française, où plusieurs figures politiques se positionnent déjà en vue du prochain scrutin présidentiel.
Toutefois, l’ancienne candidate de 2007 tempère ses ambitions en précisant : « Je ne suis pas une acharnée de la candidature », suggérant qu’elle n’entrera dans la course que si les conditions lui paraissent favorables.
La stratégie d’union de la gauche se dessine
Un pacte entre socialistes et écologistes
Le positionnement de Ségolène Royal s’inscrit dans une dynamique plus large initiée par la direction actuelle du PS. En effet, Olivier Faure, premier secrétaire du parti, a récemment manifesté son ouverture à l’organisation d’une primaire commune à gauche.
Cette proposition s’aligne avec les engagements pris le 2 juillet dernier, lorsque socialistes et écologistes ont prononcé « le serment » de présenter un « candidat commun » pour l’échéance de 2027, affichant leur volonté de dépasser les divisions qui ont handicapé la gauche lors des précédents scrutins.
Un calendrier précis pour 2025-2026
Les formations politiques de gauche ont établi un calendrier rigoureux pour leur processus de désignation. Les modalités précises de sélection du candidat commun seront déterminées d’ici fin 2025.
Quant au choix définitif du candidat qui représentera cette alliance, il interviendra dans une fenêtre comprise entre mai et octobre 2026, laissant ainsi suffisamment de temps pour préparer une campagne efficace.
En parallèle, ces partis travailleront à l’élaboration d’un programme commun structuré autour de six conventions thématiques, visant à présenter aux électeurs une alternative cohérente et crédible.



hollande n’avait pas assez fait de naufrage dans les suffrages , elle n’aura pas inventé l’eau chaude. cruche ?
un beau couple de rates et de nuisibles!ils auraient du rester ensemble! leur arrogance et leur betise na pas de limites il n y a bien qu eux pour y croire!