Au micro de Frédéric Lopez, pour l’émission « Un Dimanche à la campagne », Roselyne Bachelot s’est confiée sans fard sur son enfance, se remémorant de douloureux souvenirs qui lui ont laissé des traumas.
Son enfance dans un couvent de bonnes soeurs
Roselyne Bachelot a partagé des souvenirs encombrants, qui laissent des traces, ce dimanche 6 février, aux côtés de Sonia Rolland et Ibrahim Maalouf, dans l’émission Un dimanche à la Campagne, animée par Frédéric Lopez.
La femme politique est revenue sur son éducation dans un pensionnat de bonnes soeurs. Alors qu’elle avait 11 ans, celles-ci l’avaient punie, et renvoyée chez elle plusieurs jours. Une nouvelle qui n’avait pas du tout plu à son père.
Il s’était indigné qu’elle ne veuille pas travailler, selon lui. Même si Roselyne explique que les bonnes soeurs avaient peur de l’influence qu’elle pouvait avoir sur les autres, elles ne se plaignaient pas réellement de son manque de travail.
Mais son père ne voulait rien entendre, selon lui, elle refusait de travailler, elle allait devenir « domestique« , elle était une « incapable« .
Une punition humiliante
Ainsi, à la maison ce fut la double punition : privée de ses amies, son père l’a forcée à servir ses parents comme si elle était leur propre domestique, pour qu’elle « prenne le pli », avait-il justifié.
Puis, avec une touche d’humour, Roselyne a expliqué combien elle s’était vengée par la suite auprès des bonnes soeurs, en mettant de l’encre dans le bénitier, en creusant des pneus de vélo ou en les faisant trébucher sur des fils tendus.
Faut croire que depuis elle c’est bien rattrapée , et que c’est elle qui maintenant a des boniches !! Avec tout le fric quelle a , elle peut s’en payer , entre ce qu’elle a pris au gouvernement et depuis sur les plateaux télé , elle se goinfre !!
de la jalousie ????