La rumeur enfle et fait vibrer les cordes sensibles des fans de musique et de sport : Céline Dion, la diva québécoise, pourrait-elle illuminer de sa voix la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris ? Selon les dernières indiscrétions du « Canard Enchaîné », Emmanuel Macron lui-même aurait jeté son dévolu sur deux « top artistes » pour cet événement mondial, et le nom de Céline Dion circule avec insistance. Alors que le mystère plane encore, les spéculations vont bon train et le cœur des supporters bat la chamade à l’idée de voir leur idole faire son grand retour sur scène.
Un duo Céline Dion / Aya Nakamura envisagé ?
Imaginez un instant : la puissance émotionnelle de Céline Dion alliée à la fraîcheur de la pop urbaine d’Aya Nakamura, le tout sur la scène prestigieuse des JO. Le Canard Enchaîné laisse entendre que ce rêve pourrait bien devenir réalité. Bien que l’information ne soit pas encore gravée dans le marbre, l’enthousiasme est palpable. Le président Macron aurait-il vraiment décidé de « casser la tirelire » pour un tel spectacle ? Avec un budget de 2,7 millions d’euros évoqué pour les cachets des artistes, l’État semble prêt à mettre le prix pour une ouverture inoubliable.
Un possible retour en apothéose pour la Québécoise
Pour Céline Dion, absente des scènes depuis mars 2020 en raison de problèmes de santé, une telle apparition serait synonyme de retour triomphal. Les fans, qui ont suivi avec inquiétude les nouvelles de leur star, pourraient ainsi la retrouver dans un cadre aussi grandiose qu’inattendu. Et si l’on en croit les murmures, Aya Nakamura, dont la popularité ne cesse de croître à l’international, serait également de la partie, prête à interpréter « L’hymne à l’amour » d’Édith Piaf, malgré les controverses.
L’attente est à son comble, et les paris sont lancés. Céline Dion et Aya Nakamura seront-elles les voix de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris ? Seul le temps nous le dira, mais une chose est sûre : si la rumeur se confirme, ce sera un moment d’anthologie qui résonnera bien au-delà des stades.
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