Stéphane Plaza dézingué par ses agents immobiliers !

Stéphane Plaza vient d’être condamné à de la prison avec sursis. Ses agents immobiliers font des révélations choc.

Condamné à un an de prison avec sursis

Ce mardi 18 février 2025, Stéphane Plaza a été condamné à un an de prison avec sursis pour violences conjugales.

Stéphane Plaza a en effet été « reconnu coupable de violences habituelles sur conjoint pour les faits concernant Amandine, son ex-compagne ».

Concernant Paola, il a été relaxé, les faits n’étant pas assez été étayés, selon BFMTV.

Le parquet avait requis 18 mois d’emprisonnement avec sursis et 10 000 euros d’amende. Stéphane Plaza écope d’un an de prison avec sursis.

Stéphane Plaza a également interdiction d’entrer en contact avec Amandine, une des plaignantes, pendant trois ans.

Suite à cette décision, de nombreux agents immobiliers de son réseau immobilier sont atterrés. Ils se retrouvent dans une situation commerciale très délicate ayant déjà perdu de nombreux clients.

« Si je veux partir, je dois payer 120 000 euros de dédommagements »

« Je sais qu’à partir d’aujourd’hui, je vais travailler avec la boule au ventre. Personne ne se rend compte de la violence que l’on subit depuis les ennuis judiciaires de Stéphane », a confié un agent immobilier au Parisien. 

« On est passés de gens qui entraient dans nos locaux pour voir Stéphane Plaza à des clients qui refusent qu’on mette un panneau de vente avec le nom de l’agence », a-t-il ajouté.

Et de préciser : « C’est dur d’avoir honte de sa marque. À tel point que j’ai changé le nom de l’agence sur mes flyers, mes cartes de visite et mes voitures pour y mettre celui du quartier ».

Impossible pour les agents immobilier de fermer boutique car les conditions de départ sont très compliquées : « J’ai commencé à me rapprocher d’un autre réseau national, même si je dois continuer, d’après mon contrat, à travailler encore deux ans sous le nom de Plaza », a indiqué le professionnel.

« Si je veux partir, je dois payer 120 000 euros de dédommagements. C’est complètement dingue ! Ce type a ruiné notre business, mais en plus, on lui doit de l’argent ! On nous a fait croire que 97 % des Français, d’après leur sondage, continuaient d’aimer la marque », regrette-t-il.

« Ils ont affirmé qu’il y avait un plan B… Et quand on a commencé à faire remonter nos doutes, les contacts se sont rompus. Nous n’avons eu aucun soutien », a-t-il conclu.