Serge gainsbourg (2/7) : sa première nuit sulfureuse avec Jane Birkin 

jane birkin, serge gainsbourg

Serge Gainsbourg et Jane Birkin viennent de se rencontrer pour jouer dans le film Slogan de Pierre Grimblat. La communication entre les deux stars s’annonce tendue. Pierre Grimbalt organise alors un dîner chez Régine pour réchauffer l’ambiance… Une nuit historique commence alors dans Paris…

Serge Gainsbourg et Jane Birkin partent de chez Régine.

Gainsbourg emmène Jane à la discothèque Raspoutine pour lui faire découvrir des musiciens russes. 

Serge met des billets de 100 francs entre les cordes des violons des artistes.

Le futur couple ira ensuite écouter des musiciens d’Amérique du Sud, avant de finir la nuit aux Halles. Serge aime y trinquer avec les bouchers qui commencent leur journée.

« Je ne savais pas encore que Serge était un poète mais, en une seule soirée, le personnage avait radicalement changé et j’étais tombée amoureuse de lui », confiera Jane.

Le réceptionniste lui demande si « Monsieur Gainsbourg veut la même chambre que d’habitude »

Au petit matin, Gainsbourg propose à Birkin de la déposer chez elle. Elle refuse. Il l’emmène au Hilton. Le réceptionniste lui demande si « Monsieur Gainsbourg veut la même chambre que d’habitude ». Jane se dit : « merde, merde, merde… ».

Jane Birkin et Serge Gainsbourg montent dans la chambre et elle passe à la salle de bain quelques instants.

Pour elle, « c’était parfait comme début »…

Jane Birkin retourne dans la chambre et retrouve Serge Gainsbourg endormi sur le lit.

Elle descend au drugstore acheter le disque sur lequel ils ont dansé chez Régine : « Yummy, yummy, yummy » d’Ohio Express.

Elle remonte à la chambre et lui glisse le disque entre les doigts de pieds pour lui laisser un souvenir. Puis elle repart ensuite à son hôtel rejoindre sa fille.

Pour elle, « c’était parfait comme début »…

Une réaction sur “Serge gainsbourg (2/7) : sa première nuit sulfureuse avec Jane Birkin 

  1. J’ai travaillé au HILTON à la réception du HILTON SUFFREN , mais je n’ai pas entendu parlé de cette venue de GAINSBOURG ; j’y travaillait en 1971/1972;j’ai eu par contre Michel POLNAREFF , Jean Paul BELMONDO , Michel LEGRAND comme clients .

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