Ce mardi 12 mars, Stéphane Plaza était entendu par la police sous le régime de la garde à vue, révèlent nos confrères du Parisien. Après une nuit passée au commissariat, l’animateur de « Maison à vendre » a aussi été confronté à deux de ses anciennes compagnes, qui ont porté plainte pour violences conjugales.
Stéphane Plaza plaide l’accident concernant le doigt cassé de son ex compagne lors d’une dispute
Ce jeudi 14 mars, le tribunal devra statuer sur la suite de la procédure. Pour l’heure, Stéphane Plaza nie en bloc les accusations de violences conjugales qui le visent. Si certains SMS abondent en son sens, d’autres penchent à faveur des plaignantes. Notamment vis à vis du doigt cassé, de l’une de ses ex-compagnes, lors d’une dispute.
Car dans un texto, celle-ci reconnait qu’il n’aurait pas fait exprès… Selon Stéphane Plaza, cette blessure fut « accidentelle », il reproche à la plaignante de lui avoir barré la route alors qu’il voulait partir.
Mais d’autres textos sont à la défaveur de l’animateur fétiche d’M6 : « Qu’est-ce que je vais la prochaine fois ? Je te boxe ? » ou encore « Comment j’ai attendu 51 ans pour être violent ? »
Deux témoins confirment le comportement déplacé de l’animateur lors d’un voyage professionnel au Maroc avec une ex compagne
Un voyage professionnel au Maroc est aussi évoqué par l’une des anciennes compagnes. Durant ce voyage elle dénonce des comportements humiliants de l’animateur, lors de rendez-vous d’affaire. Des comportements déplacés confirmés par deux témoins présents durant les faits.
Mais la ligne de défense de l’animateur ne bouge pas, il nie toute violences conjugales. C’est désormais au tribunal de juger de la suite de l’affaire! À suivre!