TPMP : Benjamin Castaldi dérape avec une blague raciste

Benjamin Castaldi

Ce mercredi 30 novembre 2022, Benjamin Castaldi a fait une blague raciste sur le plateau de TPMP…

Ce mercredi 30 novembre, Benjamin Castaldi a raconté sur le plateau de TPMP la blague mise à l’honneur sur sa story Instagram.

« Ça sent la blague antisémite », lance Cyril Hanouna

Dès les premières secondes d’écoute, Cyril Hanouna est sceptique : « Ça sent la blague antisémite », lance-t-il.

« Un maire décide de faire repeindre la façade la mairie. Il lance un appel d’offre. 3 entrepreneurs présentent leurs devis : un Arabe, un Catholique et un Juif. Celui de l’arabe s’élève à 3 millions d’euros, celui du Catholique à 6 millions et celui du Juif à 9 millions. Devant de telles différences de prix, le maire décide convoquer les trois entrepreneurs pour qu’ils estiment leurs estimations Le Maire estime que le Juif présente le devis le mieux justifié, et c’est lui qui gagne finalement l’appel d’offres : ‘Monsieur le Maire : 3 millions pour vous, 3 autres pour moi et les 3 restants, nous les donnons à l’Arabe pour qu’il nous peigne la façade’ », raconte Benjamin Castaldi.

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« Je vous l’ai dit, je ne la sentais pas cette blague… », poursuit Cyril Hanouna

A la fin de la blague, Jean-Marie Bigard tacle : « Là normalement, il est condamné à mort. On est d’accord ? ! ».

« Je vous l’ai dit, je ne la sentais pas cette blague… », a poursuivi Cyril Hanouna désappointé.

3 réactions sur “TPMP : Benjamin Castaldi dérape avec une blague raciste

  1. Où est le mal ce n’est qu’une blague. Des comme celle là il y en a plein et dans tous les sens. Basta !
    Elle peut aussi être interprétée contre l’arabe.

  2. j’ai reçu et je l’ai mis dans mon blogue ,je ne vois pas ou est le racisme ,c’est plus pour rire cyril déconne pas on t’aime bien on peu rire de plein de chose

  3. Cette blague n’en est pas une. Elle ne fait que grossir les traits d’une réalité, sans référence à des origines quelconques. Client, donneur d’ordres, exécutant. Quand les deux premiers se sont servis, d’une façon ou d’une autre, il ne reste pas grand chose au dernier. D’où la nécessité d’avoir recours à de la main d’œuvre pas chère.

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