Gérald Darmanin et Gabriel Attal se font désormais face dans une guerre de pouvoir : il semble que tous les coups soient permis.
Après la dissolution de l’assemblée, la dissolution des fraternités
Le 9 juin dernier, le président décidait de dissoudre l’assemblée nationale en réponse aux résultats catastrophiques de son parti aux élections européennes. Or, cette dissolution ouvrait un nouveau vote mais aussi de nouveaux postes à responsabilité, dont celui occupé jusque-là par Gabriel Attal : premier ministre.
Ce dernier d’ailleurs avait expliqué le 7 juillet dernier, lors des premiers résultats des législatives, « Cette dissolution, je ne l’ai pas choisie, mais j’ai refusé de la subir et avec nos candidats Ensemble, nous avons décidé de nous battre ».
« C’est complètement la guerre totale »
Samedi 13 juillet, le protégé de Macron est devenu le leader du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale. Parallèlement, le conflit qui l’oppose à Gérald Darmanin s’intensifie comme le révèle Libération : un témoin interrogé par le journal aurait déclaré être « effaré du niveau de brutalité entre les deux camps »,
Il s’agit d’une guerre d’ambition et de pouvoir. Longtemps restée latente, les objectifs communs des deux hommes ne cessent de rentrer en collision. La nomination de Gabriel Attal comme premier ministre à la place de Darmanin qui était pressenti avait déjà mis de l’huile sur le feu. De nouveau, Attal remporte la place de chef de file plutôt que Darmanin cet été.
L’un des proches de l’ancien premier ministre analyse la situation : « C’est un vrai truc de droite de chercher à créer ses petites armées. Gabriel est à la base un loup solitaire, mais il est en train de constituer sa meute ».
Il faut maintenant choisir son camp
Pas de guerre sans opposés, et pas d’opposés puissants sans camp. On peut voir une vague de ralliement allée vers Attal. Prisca Thevenot explique ainsi ce choix : « Gabriel est un homme sain, capable de se poser et de s’entourer pour décider. Il sait que « leader », ce n’est pas le faire dans la terreur et les petits coups ». On peut déceler des ces mots quelques proches à l’encontre de Darmanin.
Je sais que la politique est pourris mais à ce niveau nous devenons la risée de l’Europe et au niveau mondial ce n’est pas mieux.
Le travail de sape de Macron nous montre à quel point ce type est dangereux pour notre pays il nous a mis dans le rouge au niveau de la dette qui avec le quoi qu’il en coûte .
Gouverner en principe c’est prévoir et anticiper comme doit le faire un chef d’entreprise et un chef de famille ; dépenser l’argent que l’on a pas c’est une spécialité socialiste habituellement.
Il se rapproche de la gauche pour ne pas laisser la droite RN prendre les manettes et il nous met dans le jus par sa politique opportuniste nous allons payer la facture très cher car les malades mentaux de LFI vont tout faire pour bloquer cette situation si ce n’est pas à son profit.
Comme dise les jeunes GRAVE GRAVE!!!
L’impression que donne ce gouvernement, où si tous ne sont pas cousins, aucun n’a jamais dû gagner sa vie, est une belle image de proxénétisme. Ils sont eux les dos d’azur, nous sommes les marmites ou les gagneuses. « Moi j’fais mon rond, je tire ma flemme chantait Aznavour, depuis que ma bergère est en brême je m’fais pas de bile pour le pognon ». Il y a toujours eu des règlements de comptes entre barbeaux, quelle est la différence ?