Marion Maréchal a une passion insoupçonnée pour…
Dans l’effervescence de la vie politique, il est rare de voir les candidats s’échapper de leur costume formel pour revêtir celui de sportifs accomplis. Pourtant, Marion Maréchal, la tête de liste Reconquête! aux prochaines élections européennes, a surpris son monde en s’adonnant à une activité pour le moins inattendue : le surf. Sous le ciel clair de la Bretagne, la nièce de Marine Le Pen a été aperçue glissant sur les vagues de la plage Sainte-Barbe à Plouharnel, dévoilant ainsi une facette méconnue de sa personnalité.
Une affaire de famille
« Oui, c’était bien elle, elle était avec son équipe de campagne », confirme un proche.
Et de préciser que chez Marion, le surf est une tradition familiale : « Elle a appris à surfer lorsqu’elle était enfant avec sa maman Yann, sur la presqu’île de Quiberon ».
C’est dans ce cadre idyllique que son parrain lui a offert sa première planche de surf pour ses 14 ans, une passion qu’elle souhaite aujourd’hui transmettre à ses filles. Ce lien avec le surf et la Bretagne révèle un attachement profond aux traditions sportives de sa région natale, une image bien éloignée de celle que l’on peut avoir d’elle dans l’arène politique.
Un équilibre entre engagements politiques et loisirs
Marion Maréchal ne se contente pas de surfer sur les vagues bretonnes.
Récemment, elle a également été vue en Camargue, montant à cheval lors du salon Sud Traditions de Saint-Gilles dans le Gard.
« Vive la Camargue, vive nos régions ! », avait-elle écrit sur Instagram, illustrant son post d’une photo équestre. Ces moments de détente contrastent avec l’image plus austère qu’elle renvoie dans ses fonctions politiques, et montrent une volonté de rester connectée à des plaisirs simples et authentiques.
Des réactions mitigées face à ses prises de position
Cependant, la politique reste un terrain où Marion Maréchal suscite des réactions fortes.
Récemment, elle a fait parler d’elle en questionnant sur X (anciennement Twitter) l’absence de la mère dans l’annonce de la paternité du designer Simon Porte Jacquemus et de son époux, qui ont eu recours à la gestation pour autrui (GPA) pour accueillir des jumeaux. Des propos qui ont déclenché une polémique, certains les qualifiant d’homophobes.
Malgré les critiques, elle continue de défendre l’interdiction de la GPA, la qualifiant de pratique « monstrueuse et honteuse ».