Léa Salamé : son compagnon Raphaël Glucksmann est cash

Léa Salamé

Invité dans l’émission C Politique, sur France 5 ce dimanche 9 octobre, Raphaël Glucksmann, le compagnon de Léa Salamé, a fait des confidences…

Invité dans l’émission C Politique, sur France 5 ce dimanche 9 octobre, Raphaël Glucksmann a parlé des nombreux boycotts de la prochaine coupe du monde au Qatar, pays propriétaire du PSG depuis une dizaine d’années. 

Entre le PSG et lui, « C’est fini ! »

« Est-ce que vous ne regardez plus les matchs du PSG, est-ce que vous n’allez pas regarder le Coupe du monde, est-ce que vous n’allez plus au Parc des Princes ? », l’a interrogé Thomas Snégaroff.

« Je ne vais pas mentir. Je n’ai pas complètement arrêté de regarder les matchs du PSG, mais c’est pour moi un trouble permanent. C’est mon club d’enfance. J’ai toujours rêvé que le PSG ait les meilleurs joueurs du monde, même quand on luttait pour éviter la relégation. On se disait: ‘Un jour, peut-être, on aura une équipe super forte’. Et là, je ne peux plus être fan, c’est fini ». 

Et de poursuivre : « Ils recrutent Messi, machin, tout ça, ok. Que voulez-vous que je fasse, que je dise c’est génial, merci ? Cela me met dans une situation complètement bizarre ».

« Je ne vais pas dire que je ne vais pas regarder un match, ce n’est pas vrai. Parce que je sens que je ne tiendrai pas ».

Il n’appelle toutefois pas « au boycott de la Coupe du monde par les joueurs de foot » « On ne peut pas faire peser sur les joueurs de foot les responsabilités que ne prennent pas les dirigeants. Les joueurs de foot, ils jouent au foot ». 

« L’appel doit être aux dirigeants »

Pour autant, il rappelle qu’un professionnel du ballon rond peut avoir une « conscience citoyenne » : « S’il décide de lui-même de ne pas y aller ou de ne pas concourir aux Jeux olympiques en Chine, ok ». 

Selon lui, « l’appel doit être aux dirigeants » : « Il ne doit pas y avoir de dirigeants qui représentent nos démocraties sur place pour assister aux matchs ».

Il considère que la solution est de s’attaquer au Comité International Olympique (CIO) et à la FIFA en réformant ces « organismes ultra-corrompus » : « On sait qu’il y a des histoires de corruption dans l’attribution de ces compétitions officielles ». 

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Demande à ce qu’un « cahier des charges minimum » soit instauré.

« On ne va pas faire des compétitions sportives que dans des démocraties libérales respectant le droit du travail parce que sinon on va avoir peu d’événements sportifs, mais il faut qu’il y ait des critères minimaux », a-t-il conclu.

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